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yakarentrer

Namasté! salut népalais (et indien), en joignant les mains

Annapurnas 2 et 4 vus de Manang

phénomène rare en récompense du passage du col Thorung, un arc en ciel circulaire nous étonne lorsque nous descendons sur Muktinath

stupa de Bodhnath

Bodhnath, bouddhisme et non violence

campement de nomades éleveurs de yacks à Yak Kharka à 4100m, les nuits sont fraîches

chars prêts pour la fête de la mousson à Katmandou

colporteur à Muktinah

cuisine dans le Terai

divinité vénérée par les hindous à Katmandou

Durbar square à Katmandou, il semble que les petits loups veulent courir après les pigeons sous les temples comme au pied des églises ou des mosquées

chemin à Ghyaru, les ânes y passent ça doit tenir le coup!

cultures en terrasses à Tansen, Ivan s'invite sur la photo en écrasant les freins

labour à l'araire (charrue en bois) à Bandipur

ânes chargés de bois, on en croise aussi portant des bouteilles de gaz,des bidons d'essence ou des poules vivantes

le lama de Praken Gompa vit ici en ermite depuis 42 années, il nous bénit pour le passage du col Torung

les moulins à prières de Manang tournent sous le regard des Himal (montagnes)

Manang pierres gravées de prières

moinillons et leur ballon

moulins à prière éoliens de Kagbeni, le vent emporte les prières roulées dans les tubes

pagode de la paix à Lumbini, lieu de naissance de Bouddha

Pashupatinath buchers de crémation, les cendres sont jetées dans la rivière qui ,se jetant dans le Gange en a la même "pureté"

Patan temples

le soleil nous laisse seuls avec le lac de Pokara

porteuses de bois à Namai

porteuses d'herbe Syangja

lac de Pokara femmes récoltant des plantes en chantant

réparation d'une sacoche d'Ivan à la machine à pédale Tansen

temple aux gamelles à Katmandou

tibétaine trayant son yack à Marpha

bolide et son chauffeur Tansen

Bratang tit gars

toilette des femmes Tansen

tout le monde dans le bus

tout le monde sur le bus

Manang vautours dépeçant un yack

vendeur de fruits à Katmandou

ânes et chevaux sur le chemin du col Thorung (5416m)

yakaécrire

Un petit coucou pour vous dire que je suis à Botans chez mes parents après un passage en Allemagne et à Strasbourg.
Mis à part une armée de groscrobes qui a investi mes bronches, tout va bien, mais je ne serais hélas pas dans les temps pour arriver avec l’altertour à Annecy et Chambéry.
Je vous informerais de la date de mon départ dès que j’aurais exterminé mes hôtes indésirables.
à très bientôt
Julia

coucou

nous sommes arrivés a Katmandou, je n’ai pas eu l’occasion de vous écrire et de répondre a vos messages mais patience…
tout va bien, nous avons retrouvé la santé et le plaisir de rouler.
nous avons passé 3 semaines en montagne pour faire le tour des Annapurnas.
je vous écris bientôt plus de détails, mon retour est prévu début juillet certainement avec l’altertour d’Annecy a Chambery.

a tout bientôt

Julia

yaka filer au Nepal

Avez-vous déjà traversé une cour de récréation surpeuplée la veille des vacances par temps orageux alors que les enfants sont livrés à eux-mêmes depuis des heures?
Si l’expérience vous a parue intéressante, je vous conseille d’y retourner avec un beau jouet (genre coccibeille), objet de convoitise que le père Noël a oublié de leur apporter.
Le niveau sonore est difficilement supportable, ils crient, ils klaxonnent sans cesse, les hauts parleurs hurlent, ils chantent, ils dansent, ils prient, s’agrippent à votre bras, ils se battent, se volent les uns les autres, mentent sans aucun scrupule, tous les coups sont permis et c’est la loi du plus fort.
Ça grouille en permanence, cette traversée est charmante si on observe ces enfants curieux et rêveurs jouer, chanter, vivre sans penser à demain, mais elle peut aussi être infernale si on regarde ces enfants violents, voleurs, menteurs et fatalistes.
Ils acceptent leur réalité sans chercher à l’améliorer, les règles d’hygiène élémentaires qui leur permettraient de vivre mieux ne sont pas respectées, ici tout le monde fait ses besoins dans la rue avec les porcs, les chiens, les singes, les chèvres, les vaches…, les eaux usées stagnent dans les villes alors que le moustique est le vecteur de la malaria, la dengue et l’encéphalite japonaise.
La vie est ici synonyme de souffrance et est acceptée comme telle, la religion hindoue est basée sur l’idée que le but de la vie est de sortir du cycle infernal des réincarnations pour pouvoir enfin quitter cette terre en accédant au nirvana.
Les hindous semblent ne vivre que pour pouvoir enfin mourir, en espérant que toutes les offrandes faites aux multiples divinités (et aux prêtres !) amélioreront suffisamment leur karma pour atteindre le nirvana.
Certains cherchent cependant à apporter des améliorations au niveau de la corruption qui gangrène le pays, de la condition de la femme, de l’exploitation des enfants, de l’hygiène ou du système des castes, mais leur mise en place semble inespérée, le problème n’étant pas financier mais culturel. Toutes ces idées ayant été apportées en Inde par Gandhi (assassiné en 1948) sans pouvoir être appliquées.
La société indienne est par nature inégalitaire, la place de chacun étant déterminée à la naissance par son sexe et sa caste, et tous nos autres gentils principes comme l’honnêteté et la liberté individuelle sont ici déplacés.
Contrairement aux pays musulmans que nous avons visités auparavant dont les bases sont les mêmes que notre culture judéo-chrétienne, la religion hindoue est si différente que même une athée ne s’y retrouve pas ! Pour comprendre l’Inde, je pense qu’il faut des années, pour l’accepter telle qu’elle est sans fermer les yeux je crois qu’il faut y être né.
Donc voilà, après mes impressions, je vais vous raconter un peu ou j’en suis dans mon monde.
Je suis à la frontière népalaise, dans le bureau orné d’un autocollant anti-corruption (le premier que je vois en trois mois) d’un fonctionnaire qui m’offre thé, pâtisseries, un coin de table pour vous écrire et surtout la tranquillité impensable à l’extérieur en compagnie des militaires qui ne connaissent de l’anglais que le mot sex. Ivan qui est aussi malade doit me rejoindre ici.
Je vous ai laissé à Bundi, havre de paix où nous sommes restés plus de trois semaines, histoire de reprendre des forces, de faire de belles rencontres, puis de retomber malade.
Dès le premier jour de vélo, je me fais caillasser par des enfants pour leur avoir refusé de l’argent, personne ne réagit dans le village, le retour dans la « vraie Inde » est dur, j’avais presque oublié à quel point c’était difficile pendant nos « vacances » à Bundi.
Les jours suivants ne sont guère plus encourageants, les gens bien intentionnés que nous rencontrons restent indiens, c’est à dire qu’ils n’ont aucune idée de notre notion de vie privée, qu’ils s’imposent dans notre chambre et qu’il est bien difficile de les en déloger alors que l’on tombe de sommeil après une dure journée sous le soleil, car l’été est bien arrivé , il fait très très chaud .À deux reprises, nous sommes invités, mais dans le premier cas, on nous a posé un lapin, et dans le second, le RDV étant sur le lieu de travail de notre nouvelle connaissance , il est là mais nous ignore. On en a déduit que les indiens comme les enfants font des projections sur ce qu’ils aimeraient faire, ce qui ne veut pas dire qu’ils le feront.
Pour les gens moins bien intentionnés, c’est toujours la même chanson, avec les faux policiers qui nous demandent si nous avons des dollars, les commerçants qui refusent de rendre la monnaie (donnez un bonbon à un gamin et demandez lui de vous en rendre la moitié!), le prix des chambres qui augmente au moment de payer…
Bref, on nous prend pour de gros pigeons à roulettes prêts pour être plumés, et dans tous les cas ce manque de respect me dérange.
J’ai pris la décision d’arrêter de pédaler ici car je n’ai plus de plaisir à le faire, essayez de rouler avec une corne de brume dans les oreilles, par quarante degrés en mangeant la poussière pendant que les camions et bus vous poussent dans les fossés et sachant que tout arrêt sera pénalisé par un attroupement de 50 à 100 personnes cherchant à tripoter vélos, sacs et cyclistes.
Je veux donc partir pour le Népal plus rapidement, d’autant plus que nous aurons tout de même passé trois mois en Inde même si j’ai roulé moins que prévu à cause des difficultés et de ma santé car j’ai été malade pendant presque tout notre séjour ici.
Ivan refuse de prendre le bus ou le train, mais il avance plus vite seul donc ma décision lui permet aussi de rouler à son rythme en accélérant un peu la cadence.
Sur la route entre Bundi et Shivpuri, nous avons visité le parc Ranthambor, et si les tigres ont fait les timides, nous avons pu observer les antilopes, les daims, les singes et de nombreuses variétés d’oiseaux, de plus les paysages étaient magnifiques.
Puis à Gwalior, j’ai visité la citadelle et surtout les monumentales statues jaïnes taillées dans le roc surplombées de colonies d’abeilles. Par contre, je n’ai pas apprécié le vol de mon rétroviseur par le personnel de l’hôtel ou devoir payer 25 fois le prix indien pour les entrées aux sites touristiques.
J’ai zappé Agra et son Taj Mahal que j’avais déjà visités lors de mon premier voyage et suis partie directement en train pour Bénarès, ici la ville se nomme Varanasi, mais je dis Bénarès uniquement pour continuer ma série B (…Bombay,Bundi…).
Les 15 heures de voyage sont longues pour faire 600km avec le personnel du train qui me harcèle pour obtenir des bakchichs en échange de l’acceptation de mon vélo dans le wagon.
La situation est due au fait que mon vélo aurait du se trouver dans le wagon des bagages avec un ticket spécial si la personne à qui j’avais acheté mon billet en précisant que je voyageais avec un vélo ne m’avais pas répondu « no problem » tout en m’indiquant un mauvais numéro de quai.
J’ai mis fin au chantage en prenant les employés en photo et en promettant de les dénoncer au méga-sur-chef de la gare de Varanasi si ils ne cessaient pas. Ils seront pourris jusqu’au bout en me faisant croire que je ne suis pas arrivée dans la bonne gare à Varanasi et que je dois encore rester dans le train.
Je ne sais pas quel sort m’était réservé après le terminus en leur compagnie mais j’ai demandé aux voyageurs sur le quai le nom de la gare, qui était la bonne, et je suis enfin sortie du train avec la coccibeille qui avait terminé sa nuit dans les toilettes après 6 déménagements inutiles.
Malgré la nuit agitée que je viens de vivre, les retrouvailles avec la ville sainte ouverte sur le fleuve sacré, le Gange, sont aussi belles et mystérieuses que notre première rencontre il y a 4 ans.
J’y reste une semaine, avec une promenade au lever du soleil sur les ghâts tous les matins pour voir la ville s’éveiller et respirer.
Les ghâts sont ces marches qui bordent le fleuve, chaque communauté vient y faire ses ablutions à l’endroit qui lui est réservé, si le Gange accepte sans différenciation les offrandes, les égouts, les cadavres, les déchets chimiques et industriels de tous, les hommes eux ne se mélangent pas sur ses rives.
Le spectacle est surprenant, les fidèles viennent se purifier dans le Gange qui a la propriété de vous refaire un beau karma tout neuf en vous décrassant l’âme de vos péchés accumulés même lors de vos vies antérieures ! C’est pas magnifique?
La ferveur religieuse et le culot des profiteurs y sont sans limites, le petit commerce des gourous, des astrologues, des vendeurs d’offrandes bat son plein.
C’est aussi ici que les Indiens viennent de laver (pas que l’âme: avec du savon), se faire raser crâne et barbe, se faire masser, lessiver leurs habits, faire boire leur bétail ou pêcher.
Ce lieu de vie est aussi le rendez-vous des morts qui après avoir traversé les ruelles de la ville le visage découvert sur un brancard porté par les hommes de la famille sont incinérés sur les bûchers sous les regards de leurs proches (mais pas des femmes car elles risqueraient de pleurer et d’empêcher l’âme du défunt de s’élever), des faux prêtres-guides avides de roupies, de vrais touristes échoués là lors d’une promenade, des porteurs de bois qui alimentent le feu, des chiens et des orpailleurs qui attendent les restes.
Les êtres les plus purs comme les vaches, les nouveau-nés ou les sâdhus sont dispensés de crémation et sont eux directement livrés aux eaux du fleuve.
L’argent et la mort qui sont des sujets tabous pour nous sont ici naturellement exposés.
En arrivant à faire abstraction des loueurs de barque, des vendeurs de cartes postales, des rabatteurs qui veulent vous emmener dans un commerce ou un hôtel, des faux guides, des sâdhus qui réclament de l’argent en échange de clichés, des astrologues et autres vendeurs de tikka (troisième œil), la promenade est riche de belles images et est un voyage à elle seule, je me sens déconnectée, ma réalité n’est pas la leur même si nous évoluons dans le même espace.
Le spectacle est encore plus irréel le soir lors de la cérémonie du pûjâ à la nuit tombée, sept prêtres officient face au Gange dans une chorégraphie parfaite au son assourdissant des cloches et tambours.
Ils sont beaux tous ces enfants qui s’activent, vivent et meurent avec le fleuve, j’ai l’impression qu’ils jouent à un jeu dont je n’ai pas compris les règles.
Pendant que je me promène à Varanasi, Ivan continue sa route de cycliste pur et dur par 40 degrés, ce qui lui vaudra une grosse insolation et cinq jours de fièvre, je vais donc le retrouver à Sitapur, pour voir si il faut l’achever ou juste l’assister un peu.
Le voyage est tout aussi problématique que le précédent, je vous passe les détails mais j’ai passé 4 heures entre cinq guichets de la gare pour obtenir cette fois-ci un billet pour moi et un pour le vélo qui devait me suivre dans un autre wagon pour finalement réussir à le retrouver cinq jours plus tard allégé de tout ce qui pouvait se démonter sans outils.
Il a fallu que j’explique que je n’avais pas l’intention de quitter la ville sans mon vélo et que je voulais faire une déclaration à la police pour qu’il arrive miraculeusement le lendemain.
Je pense que certains touristes en fin de visa doivent leur abandonner leurs biens, ils sont mal tombés, j’avais du temps puisque j’attendais qu’Ivan puisse reprendre la route et je suis aussi têtue qu’eux.
Donc voilà, nous quittons l’Inde, heureux d’avoir vécu ces trois mois au pays des enfants qui remettent en cause tous nos fonctionnements, mais aussi heureux de le quitter pour retourner dans un monde qui nous semble plus accessible: le Népal.

photos



le mr voulait se brosser les dents sur le pas de sa porte, mais la grosse bebete a decide que c'etait l'heure de son calin

coucou

Nous sommes depuis deux semaines a Bundi au Rajasthan, pause necessaire pour reprendre des forces suite a nos nombreuses maladies respectives et se preparer pour la route a venir en direction de Benares que nous allons essayer de faire uniquement par les petites routes car les routes principales sont horribles pour les cyclistes.
j’ai roule de Mumbai a Valsad, puis j’ai du prendre le bus car j’étais trop malade, je pense que j’ai eu la dengue.
En attendant Ivan qui a fait toute la route en vélo je suis allée visiter Jodhpur la ville bleue et le plus beau temple jaïn d’Inde, le temple d’Adinath a Ranakpur.
Puis nous avons repris nos montures jusqu’a Bundi, petite ville adorable et pas encore pourrie par le tourisme, de la nous sommes alles visiter Jaipur, la forteresse d’Amber et Kota en bus.
Tout ca sans pédaler beaucoup mais pas de tout repos pour autant, j’ai pris le bus 8 fois dont deux de nuit avec les fenêtres qui ne fermaient pas et un de jour avec un gros porc comme voisin qui avait decide de tripoter de l’européenne.
Contrairement a la Turquie et Oman ou les hommes sont aussi peu respectueux envers les femmes qu’ici, mais ont peur du regard de la société et de la police, en Inde rien ne les arrête et personne ne m’a propose d’échanger de place et mes réactions ont bien fait rire les autres passagers.
La condition de la femme est ici inacceptable, elles travaillent beaucoup, y compris pour les travaux de force et de portage et ne sont pas respectées du tout.
La femme n’existe ici qu’au travers de son père puis de son mari que ses parents auront choisi pour elle et généralement des ses 15 ou 16 ans pour des raisons financieres.
J’ai lu dans le Time of India que 44% des femmes indiennes subissent des violences conjugales, sans parler des meurtres et infanticides car une fille ca coûte cher.
donc voila, j’avais en partie arrete d’écrire pour ne pas cracher ma colère envers les mâles et essayer d’avoir un peu de recul mais ce n’est pas ici que ce sera possible.
c’est pas facile d’être fâchée avec la moitie de la population, en attendant je leur colle des baffes et je prends conscience de la chance que nous avons de vivre en Europe.
J’avais etee fascinee par ce pays lors de mon premier voyage, justement car tout y est si different et incomprehensible avec nos cervelles europeennes, mais aujourd’hui ce que je peux comprendre apres plus de 9 mois de voyage et de rencontres me laisse une image bien plus terne que leurs jolis saris colores.

yaka jouer

qui a mal aux dents?

concours de vitrines
qui releve le defit?

reglement:
la vitrine doit rester en place au minimum 24 heures avec les grilles levees en journee
envoyez moi les photos par mail
le jeu se termine a mon retour (date indeterminee)
le gagnant remportera une magnifique monture de la derniere collection yakayvoir

yaka arriver !!!!!

ca y est, avec juste un peu de triche (2 heures de vol entre Muscat et Mumbay), nous sommes en Inde.

conditions optimales pour un premier vol, et juste un porte bagages plie a l'arrivee


je visite Mumbay pendant que Ivan decouvre les bacteries Indiennes depuis son lit

10 bombonnes par velo, attention au freinage


je suis heureuse d’avoir quitte Oman qui malgres ses magnifiques paysages etait oppressant pour moi.
explications: la condition de la femme y est difficilement acceptable, surtout dans un pays qui est bourre de fric et dont l’education ne devrait pas poser de problemes… l’autre point noir est l’environnement, ils roulent tous en gros 4×4 en balancant leurs ordures par les fenetres, la nature est souillee de sacs plastiques et autres detritus que les chevres machonnent.
Si ce n’est pas un scoop que l’argent ne fait pas le bonheur, je pensais qu’il pouvait aider un peu a eduquer la population et se payer le luxe de preserver la planete, et bien je pensais mal.
Je suis bien heureuse de retrouver les Indiens qui recyclent tout ce qui peut l’etre et respectent leur environnement et les croyances et coutumes de chacun.

je vous souhaite a tous une heureuse annee 2011, pleine de joie et de decouvertes!

muscat

plus haute tour du monde

si la coccibeille savait nager...

charme de Dubai

on campe ici et on trouve les chameaux le lendemain matin a 200m de la tente

ivan tente de chasser les voleuses

Carmen 2 fait office de sapin de noel et ca marche, le pere noel m'a apporte un nouvel appareil photo

coucou, tjr pas assez de temps et connections internet rares.
nous sommes a Muscat, tout va bien , il fait chaud et nous allons certainement devoir prendre un avion pour Bombay vu le prix du bateau.

j ose encore vous promettre un article bientot

on pousse les velos plus qu'on ne roule,mais les paysages sont fantastiques

la mer a bien du mal a avaler tous les dechets

le rose c'est pour les filles

on pousse les velos plus qu'on ne roule,mais les paysages sont fantastiques

on protege la tente avec les velos et des pierres chaque nuit pour ne pas se reveiller entre quatre roues

reveillon avec les poissons volants a 3m de la tente

rapide coucou

promis, il y aura un vrai article bientot
en attendant, nous n’avons pas gele dans le desert et nous avons beaucoup aime Persepolis et Yazd.
Nous sommes aujourd’hui a Darab et pensons prendre le bateau pour Dubai dimanche prochain.
tout va bien mis a part une chute pour Ivan qui n’a rien de casse mais qui est quand meme bien croute.

j’essaye de faire des bonhommes de sable, mais rien ne vaut la bonne poudreuse

julia